Retour à l'écriture, donc à la nécessité d'être un peu plus égoïste. Ce faisant je refuse des invitations, j'ouvre plusieurs documents Word sur lesquels j'écris pêle-mêle, la plupart du temps avec enthousiasme (cela ne veut pas dire que ce n'est pas souffrant). Entre deux pages, je joue du piano ou fais du ménage dans mon appartement.
Tous les trois jours, je passe à la librairie de mon quartier, achète deux, trois, quatre livres. Les livres peuplent un territoire de liberté, ceux qui s'en privent deviennent cons plus rapidement.
Je viens de donner un exemplaire de mon Quiz Auto à Daniel, le propriétaire du Café Orr. Ce café est fort sympa, c'est pourquoi j'y reviens de temps à autre, toujours avec un plaisir contrasté. Cependant, j'aimerais que la musique y soit moins forte. Mais il ne faut pas trop en demander, moi et la musique, vous savez, nous avons une relation bien particulière.
Comme je disais plus haut, j'achète beaucoup de livres. Peut-être ces livres s'apparentent-il à ceux que j'aimerais écrire. Je me demande d'où vient cette avidité pour les livres. Tout simplement de la nécessité de me construire mon coin de paradis.
Établissement d'un espace de liberté oblige, j'ai acheté quelques plantes hier : treize petits pots au prix de 35$. Merci Kijiji.
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